Ok, plonger dans mes songes, j’aperçoit des anges,
c’est étrange, ils sont tous en train d’me faire des louanges,
ca m’dérange, mais j’me réveil, sortit d’mon sommeil,
j’baille aux corneilles, éblouit par les rayons du soleil,
je gueule, le bordel est monstre, la vaisselle est cruelle,
l’horloge indique le 11, mais qu’ai je fait la veille ?
Putin !! on est lundi, le taff commençait a 7h00,
faut kjtrouve une feinte, du genre, j’me suis pas lever assez tôt,
nan mieux k’ca, euh … j’me suis casser l’dot
merde, faudra forcement l’ordonnance d’un veto,
nan… d’un med’cin, veston et Weston aux pattes,
j’réajuste ma cravate, claque la porte et part a l’attaque,
j’arrive au taff l’air, … pas désolé du tout,
le boss lui brasse l’air ,il est vert jusqu’au coup,
apparemment, j’ai manqué un très grand moment,
j’devait lui ramener ses dossier, qui sont dans mon appartement,
appartenant a j’sais plus qui, et que mon, comportement,
n’avait d’égal que la maturité de mon tempérament,
la température monte, bah oue, j’aime pas qu’on m’gave,
et lui n’aime pas qu’on l’brave, et là, ca d’vient grave,
la grosse garce, grâce et laide, apporte de l’aide et nous sépare,
c’est pas ma faute, … c’est lui qui a commencer, c’est lui l’connard,
mais d’la violence sur l’patron c’est pire que l’huile sur le feu,
bof … au fond on s’en fou c’est pas ce taff qui m’rend heureux,
moi j’veux r’trouver les anges, pour qu’ils me bercent de leurs louanges,
allongé dans un berceau d’or, très très loin d’la boite de pandore,
mais le patron ne me lâche plus et c’est l’procès qui m’tombe dessus
ma vie c’est de la merde, et je n’veux pas qu’on marche dessus